| 7r Comment laisser partir Votre excellent frère, mon cher Comte, sans Vous
offrir, à Vous et à l’aimable Comtesse, l’hommage de mon respectueux dévouement et de ma
tendre amitié. Je ne veux pas que dans Votre convalescence Vous Vous
tourmentiez à m’écrire, dictez quelques lignes à Monsieur Votre frère et ajoutez-y quelques
mots de Votre main, afin que j’aye la consolation de voir de
l’écriture d’une personne à laquelle je suis attaché pour la vie. Les dernières nouvelles que Monsieur de Cancrin a bien voulu me donner de Votre état,
Vous dépeignaient
encore comme
bien
souffrant: mais
voilà le printems qui approche et heureusement le froid ne s’est fait
bien sentir que dans les pays du midi.
Nous voudrions souffrir pour Vous, quand on a
eu le bonheur de Vous voir de si près, de comprendre que Vous avez,
mieux que de l’esprit et des talens, une chaleur d’âme, une élévation
de caractère, une bienveillance qui ne s’absent jamais d’un instant, lorsqu’on
Vous a vu Vous
retirer(?) de
[Schließen]Vous
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