| 128v l’Esclave peut forcer le Maître
à le vendre à un autre;
3o que la (engl.) Freilassung aus Sklaverei
[Schließen]Manumission est libre. À
Saint Domingue elle
était
défendue et le maître avait à payer une amende de Peso: Währungseinheit (Spanien)400- Peso: Währungseinheit (Spanien)700 pesos
dans les Caisses publiques. Le Gouvernement ne voulut
pas de liberté. Et croirait-on qu’à la Havane il y a des Espagnols contraires à ces 3 loix humaines? D’ailleurs aucun âge
n’est fixé à
l’Isle de Cube
pour vendre l’enfant Nègre. On peut le vendre à la mamelle, l’arracher du Sein de sa mère!! voyez
numéro 13.
(numéro 7) La Culture du Sucre començait
à
S. Domingue en 1698,
on ne cultivait alors que du Tabac, du Cacao,
de l’Indigo et le Gouvernement même était contraire à celle du Sucre. Voyez
Traité d’économie politique des Colonies par
Page zitiert hier aus einem Brief vom
26.2.1698 an den
Gouverneur
von Saint-Domingue, worin die Effizienz der Zuckerkultur
im Vergleich zu anderen Anbaugebieten diskutiert wurde, und merkt an, dass
in Frankreich mit einer Schiffsladung
auch Zucker angelangt sei. (Page
1801, I, ii–iii)
[Schließen]
Page,
an 9.,
page III.
(numéro 8) La première année de la révolution (destruction) de Saint Domingue, le prix du Sucre à la Havane montait à 35 réaux au lieu de 16 réaux, ce qui est le commun par arrobe.
(numéro 9) En
1788 les
Antilles
anglaises (La Jamaique, la
Barbade, la Grenade, les Grenadins,
Saint Vincent, la Dominique, Saint Christophe,
Antigua, Mont
Serrat et les Vierges) avaient
528302 âmes. La partie espagnole de Saint
Domingue n’a que 125000 habitans dont 15000 esclaves.
La population se composait, en 1788, de 125,000 personnes de tout
sexe et de tout âge, 110.000 sont libres … 15,000 sont esclaves. (Page 1801, I, 42)
[Schließen]Page I,
page 42.
entre les quels
- blancs 59943.
-
Marrons (von span. Cimarrón; auch Maroons)
sind von Plantagen geflohene schwarzafrikanische Sklaven und ihre
Nachfahren.
[Schließen]Marons 1400. Anmerkung des Autors (am linken Rand) Le Major Raynel donne à l’Indoustan 110 millions d’habitans et aux Colonies anglaises asiatiques 30 millions, Depuis les montagnes du Tibet jusqu'à l'embouchure du Gange … l'Angleterre règne sur 50,000,000 d'hommes. Le Major Raynel donne à l'Inde, proprement dite … 110 millions d'habitants. (Page 1801, I, 59–60)
[Schließen] Page I, page 60. - Mulâtres et Nègres libres 12798.
- Esclaves 454,161.
[Schließen] Page, II, page 225. Elles produisaient et envoyaient en France pour Franc: Währungseinheit (Frankreich)218 millions de francs de denrées.
La Jamaique seule 291400 habitans (30000 blancs, 10000 Mulâtres et
Nègres libres, 250000 Esclaves). La Barbade 79162 (blancs 16167 beaucoup! Esclaves 62160). Antigue 40398. Saint Christophe
30303. La Grenade 26141. Montserrat 20720(?) Dominique 16648.
Saint Vincent 13330. Les Vierges 10200. Siehe das Tableau im Anhang von Page 1801, I, zu S. 3.
[Schließen]Page,
page 3.
Voyez
numéro
12(?).
- en Dominique: Prince Ruperti-bay, Roseau,
- en Jamaique: Kingston, Savana lamar, Montagu-bay,
- en Grenade: Saint Georges,
- en Providence: Nassau.
Anmerkung des Autors
(am linken Rand)
Le nouveau
Arango y Parreño/Torrontégui
1796, 7. Vgl. auch Yacou 2009.
[Schließen]
Règlement bienfaisant sur les Cimarrones est du 20 Décembre
1796. Il était la suite de l’Informe éloquent que Doctor
Francisco Arango y
Pareño, Oidor honorario y Sindico del Consulado, fit
imprimer le 9 Juin 1796. Il y dit:
„Los que habian sido testigos de la
barbarie y crueldad con que algunos
quadrilleros tratan a los Flüchtige schwarzafrikanische Sklaven und
ihre Nachfahren in Westindien,
auch Maroons oder Marrons.
[Schließen]Cimarrones, clamaban con mucha
vehemencia, en nombre de la
humanidad (o sea en él de su interés
)
por que se contubiera tan reprehensible exceso.“
(On s’amusait de mutiler les esclaves, c’étaient
des parties de chasse)
„Pero el que no presenció aquella abominacion, el que tiene
muchos huidos y algunas ideas confusas de la revolución del Kommentar
Gemeint ist hier nicht die
venezolanische Provinz Guárico, sondern die (alte spanische) Bezeichnung für
Saint-Domingue,
insbesondere die Plantagengegend um das Cap Français. So erklärt sich auch Arangos
Formulierung der "revolución del Guarico".
[Schließen]Guarico lejos de reclamar contra el brutal
rancheador,
insta por que se aumenten sus injustas facultades. En medio de
estos partidos,
se pone él de los indiferentes, que sin
aprobar la crueldad, ni empeñarse en reprimirla, se fixan tan
solamente en el interés pecuniario y encuentran que es mucho dinero el que
cuesta la captura y muchas las facilidades que goza el
aprehensor para servirse a su antojo del infeliz fugitivo.
Este solo es quien no tiene partidario, defensor ni protector, y por decirlo de una vez, ni aún el derecho de huir de los rigores del hambre, del trabajo y la crueldad.“.
Voilà des paroles dictées par le sentiment. Que la législation a changé. Quel contraste avec Der Code Noir von 1685 sollte den Umgang mit den
schwarzen Sklaven in den französischen Kolonien regeln. Er war bis 1848
in Kraft. Humboldt zitiert weiter unten die Aktualisierung von 1724 für
die Kolonie von Louisiana, worin für Flucht harte Strafen (wie das
Abschneiden eines Beines) gesetzlich vorgeschrieben wurden.
[Schließen] le Code noir, le jaret
coupé!
(numéro 10) La
Havane a intra muros 60000, extra muros 20000
almas. Toute
l’Isle de Cube
150000–180000 esclaves. – Diese Passage (bis […] si personne ne le
réclame.) findet sich wieder in Humboldt 1826, I, 324–325.
[Schließen]Jadis il y avait beaucoup de Nègres marons dans l’Isle, surtout dans
les Montagnes de Xaruco.
Les Marons bozales marchent tout le jour bêtement vers l’orient pour aller en Afrique (remarquez qu’ ils cherchent l’Intérieur venant de la Côte occidentale). On les prend facilement. Ils sont souvent si
affaiblis de faim qu’il faut les tenir longtems à l’hôpital au bouillon. Les Marons déjà
civilisés se cachent près de l’hacienda dans les bois, ils savent qu’on ne trouve pas l’Afrique. Ils se cachent le jour et volent la
nuit des moniatos, des vivres. Quelques-uns se mettent
Gruppen von Flüchtigen ab sieben Sklaven nannte man
apalencados und ihre Strafe fiel höher aus als die einzelner. Vgl. Arango y Parreño/Torrontégui
1796, 30.
[Schließen]apalencados ,
c’est-à-dire se font des retranchements de bois pour se
défendre. Comme là sont difficiles
à prendre. Il y a 10 ans que seulement l’Alcalde Mayor
Provincial (place héréditaire de la famille du
Comte Bareto) pouvait prendre les marons. On les prenait
difficilement, avec peu de soin, et fut alors au
maître des comptes bleu sur les fraix de Peso: Währungseinheit (Spanien)60- Peso: Währungseinheit (Spanien)120 pesos
.
Aujourd’hui, chacun a le droit de prendre les
Marons, on donne Peso: Währungseinheit (Spanien)4 pesos
de
récompense
et on paye des prix fixés pour la
nouriture jusqu’à ce que le Nègre
ait
été entregado au Consulat. On l’y trouve là, dans le moment où le Nègre manque, on envoye son nom et figure au Consulado. On le fait travailler publiquement, si personne ne le réclame.
Voyez
numéro 34. C’est le maître qui châtie le Cimarron à
l’Isle de Cube. On nomme apalencados des esclaves cimarrons qui se réunissent
à 7.
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